Malgré cet état de fait, la majorité a rejeté toutes les mesures concrètes proposées pour y faire face. Pire, elle a soutenu des propositions visant à en assouplir les valeurs limites. Une politique à contre-sens des défis de notre époque ! (2/2)

Cependant, la lutte continue. En effet, le Conseil des États doit désormais reconnaître que la violence dans une relation de couple est spécifique et doit donc être traitée différemment dans le droit pénal. Nous devons continuer à nous engager pour une meilleure protection des victimes. (2/2)

Il faudra toutefois encore agir en parallèle sur la prévention de ce type de comportements et surtout mieux protéger et accompagner les victimes, non seulement du stalking, mais de tous les types de violence. La lutte féministe ne s'arrête pas ici. (2/2)