"convertie" à l'athéisme 🤗

Si je dois situer ma foi, je dirais qu'elle est ailleurs [X-Files référence, anté réseaux sociaux possible 🖖]

Nulle part où un.e autre prétendra la figer pour moi.

sujets qui nous tenaient à cœur -le judaïsme en était un parmi d'autres- mais l'idée d' israel, comme si on venait de me proposer un tour en enfer.

Maintenant je comprends mieux pourquoi.

À la limite, *hiloni*, juif laïc aurait pu me convenir.

Les plus récents évènements m'ont finalement

choses semblaient me pousser vers ce chemin, quand elle m'a demandé -dans la mesure où elle l'envisageait de faire son alya- si je ne serais pas tentée moi aussi, je me rappelle avoir été saisie d'un sentiment d'horreur.

Pas envers elle, nous avons continué à nous rencontrer & échanger sur des

gaudriole.

Une poignée d'années avant l'an 2000, je m'étais demandée si je n'allais pas me convertir au judaïsme : l'idée faisait son chemin depuis longtemps chez moi, j'avais fini par me lier d'amitié avec une juive de ma ville qui pensait que c'était réalisable.

Pour autant, si beaucoup de

Quoi, qu'ils sont devenus des nazis sans prépuce...?

Guillaume Meurice avait vanné le 1er sinistre d'un État colonial pratiquant l'apartheid et ayant plus récemment progressé vers un régime génocidaire -il s'agissait certes d'une forme d'humour des plus sombres, mais le sujet excluait de fait la
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"rébellion, outrage,《menace de mort sur personne dépositaire de l'autorité publique》" 🤔

Toujours aussi fréquentables, les sionistes...

Et ça a continué, après

"Deux militants pro-israéliens seront jugés en mai pour des incidents intervenus samedi devant le commissariat parisien où étaient retenues les 4 personnes suspectées d’avoir déclenché des heurts à la Philharmonie 2 jours plus tôt.."
www.lemonde.fr/societe/arti...

Il y a un acharnement extrêmement violent de l’extreme droite. Nos noms ont fuité dans les médias Bolloré et sur les réseaux sociaux. Depuis, je vis dans la peur permanente que mon adresse et mon identité complète soit dévoilée.

J’ai été placée dans une cellule éclairée 24 heures sur 24, sans matelas. Les policiers m’ont insultée. Il faut vraiment s’intéresser à ce qu’il se passe dans les espaces de privation de libertés, c’est absolument indigne et cela interroge sur ce qu’on est en tant que société.

/.. que des gens ont été solidaires avec nous.

Arrivée au commissariat, on a été traités comme des sous-hommes dans le commissariat du XIXe avec de nombreux commentaires racistes, des officiers de police judiciaire extrêmement violents.

devait être ronde -après, chacun est censé y avoir sa place, n'est-ce point exact...?)