“Il y a une conjonction de facteurs et de polémiques avec Shein qui nous engage à mobiliser notre arsenal juridique”, déclare à @politico.eu un conseiller ministériel.
Plus de détails par ici (en accès libre) 👇
www.politico.eu/article/fran...

La deuxième procédure provient du ministère de l'Intérieur : demande de blocage pour dommages répétés de la plateforme sur l'ordre public - article 6-3 de la loi pour la confiance dans l’économie numérique (LCEN).

Preuve, selon plusieurs observateurs, d’une habitude du public à l’égard de ces contenus et d’une réticence des influenceurs à condamner unanimement ces pratiques, de crainte de s’attirer les foudres de leurs abonnés.

Décryptage par ici 👇

www.politico.eu/article/affa...

De fait, les streamers qui se sont aventurés à condamner ces pratiques, et notamment les violences subies par Raphaël Graven, ont reçu en retour des messages haineux d'une partie du grand public.

Bonjour, à ce sujet n'hésitez pas à lire l'article dans son ensemble le point que vous évoquez sur les médias est mentionné (il est en accès libre), bonne journée :).

Le tout avec un graphique concocté par
@alphoenix.bsky.social qui montre l'explosion du nombre de signatures à compter du 17 juillet 🔎

Dans son communiqué l'association estime que les références utilisées pour la promotion de ces canettes sont illicites au regard de la loi Evin en ce qu’elles associent la boisson alcoolique "à des scènes de festivités, d’amitié et d’amour."

Le Haut Conseil à l’Egalité voudrait, quant à lui, créer un délit de sexisme pour compléter l’infraction d’outrage sexiste. Le but : contrer l’ambiguïté volontaire de ces influenceurs, et parvenir à des sanctions, nous explique sa présidente.
Plus de détails ici : pro.politico.eu/news/201297

Mais d'après une note juridique demandée par une plateforme et consultée par POLITICO la plupart des vidéos en question “ne comporte(nt) pas d’exhortation à commettre des actes de violence” et ne sont donc pas condamnables en l’état.