🧵Automne 2024. Fatima, franco-tunisienne, vit sa vie tranquillement en campagne bourguignonne. Jusqu’à un courrier impersonnel qui lui retire la nationalité française.

Le mot crémerie? Cette rescapée du Bataclan lisait "crématorium". Une armoire à l'horizontale? Elle voyait un cercueil. C'est un stress post-traumatique et le chercheur Francis Eustache, spécialiste de la mémoire, travaille à y remédier:

«Pourquoi les déchoir dès lors qu’on ne peut pas les renvoyer?» Coincés entre la France qui ne veut plus d’eux et le pays de leurs parents qui ne les veut pas non plus, Farid, Nadir et les autres déchus de leur nationalité vivent dans un no man’s land juridique.

👉 lesjours.fr/obsessio...

Après un voyage en Syrie et de la prison, Farid, Franco-Marocain, a repris sa vie, s’est réinséré… puis a été déchu de sa nationalité française. Le début de l’enfer. Un épisode à retrouver sur notre site ➡️ lesjours.fr/obsessio...

« Mme Le Faou, c’est la main de la République qui m’a été tendue. J’ai su la saisir », dit Malik, qui a décroché deux CAP en boulangerie et en maintenance à la maison centrale de Poissy (Yvelines).
L'école derrière les barreaux, un super reportage de Hugo Forquès
www.la-croix.com/france/en-pr...