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fxthuaud.bsky.social
@fxthuaud.bsky.social
Bibliothécaire à Clermont-Ferrand.
Gloseur ciné pour Le Bleu du Miroir.
C'est "seulement" le 4e Goncourt des Éditions de Minuit après Marguerite Duras (1984), Jean Rouaud (1990) et Jean Echenoz (1999).
November 4, 2025 at 6:44 PM
Quand on pense à Woody Allen, Nanni Moretti et Radu Jude devant un film, on n'est pas mal.
Féroce, burlesque, tendre, pathétique. Excellente surprise venue de Colombie.
November 1, 2025 at 9:10 PM
"Y avait du soleil sur son front
Qui mettait dans ses cheveux
Blonds
De la lumière"

Je ne sais pas si j'ai vu une mauvaise adaptation de L'Étranger ou une bonne de Mon légionnaire.
October 30, 2025 at 10:40 PM
Tout ce qui est de l'ordre de l'infra (un geste, un murmure, un regard) est très beau dans ce film sans véritable colonne vertébrale. Ari, à la dérive, accroche et échappe. Le film aussi, difficile à aimer sans réserve. Ari de Léonor Serraille, disponible sur Arte jusqu'en janvier.
October 30, 2025 at 6:01 PM
La mère achète le terrain, le père construit la maison. Il en a de la chance Déni Oumar. Oui mais voilà, tout n'est pas si simple. Film à la fois désarmant d'honnêteté et rusé. Comment sortir du lot et vivre perché ? Presque le film du mois.
October 29, 2025 at 4:32 PM
Valérie Manteau a suivi l'intégralité (ou presque) du procès des viols de Mazan, elle en a tiré un livre de réflexion et de dépression, de colère et de lutte, d'amitiés aussi. Un livre qui, inévitablement, charrie les traces de l'abjection tout en rapportant les splendeurs et misères de la justice.
October 27, 2025 at 11:14 AM
October 26, 2025 at 9:42 AM
Quoi de neuf ? Euh...
October 21, 2025 at 4:58 PM
October 19, 2025 at 7:48 PM
Radu Jude dans Libération.
Pas de Dracula chez moi...
October 15, 2025 at 10:13 AM
Ça va pas se réchauffer
October 14, 2025 at 5:11 PM
Le récit à la deuxième personne prend toujours le risque de donner au lecteur le sentiment d'être exclu. Ici l'adresse embrasse large et, dans l'aventure de la langue, chacun (re)trouve son chemin. Fortiche.
October 13, 2025 at 5:55 PM
Ce qui m'a manqué devant Nouvelle Vague, je ne sais pas le nommer autrement que par un jeu de bande (à part) : l'équivalent de l'humidité que je ne retrouvais pas en visitant la réplique de la grotte Chauvet.
October 12, 2025 at 4:51 PM
Extrait de Une fois encore, mémoires de Diane Keaton
October 12, 2025 at 8:24 AM
On peut donc voir Mika dans Météors au Ciné Quai de Saint-Dizier, abrité dans la Tour Miko, décor du film.
Vu plus modestement au Ciné Capitole de Clermont-Ferrand, et aimé son entrelacs de toxicités et d'ambiguïtés.
October 10, 2025 at 8:41 AM
Tupperwar On Screen (pardon, c'est effectivement un des meilleurs films de l'année).
October 9, 2025 at 7:50 PM
Très très agacé par la musique de Donald Sosin qui accompagne la restauration de Gosses de Tokyo. Dissonante ou grandiloquente, elle m'est apparue en complet contre-sens avec l'esprit du film. Gâcher Ozu, merde alors.
September 25, 2025 at 6:45 AM
L'année 1962, Claudia Cardinale tourne simultanément Huit et demi et Le Guépard.
Extrait de La bella confusione de Francesco Piccolo
September 24, 2025 at 7:03 AM
Jonathan Ricquebourg signe la photo de ces deux films qui auront impeccablement encadré l'été du cinéma français. Deux univers visuels aux antipodes, deux réussites.
La Tour de glace peine à trouver son public, semble t-il, c'est très dommage (mauvais timing ?).
September 22, 2025 at 9:12 AM
Dans Gueule d'amour (Grémillon, 1937) les domestiques du grand monde s'expriment au subjonctif imparfait. La langue comme marqueur social que Lucien Bourrache, celui sur qui toutes se retournent, n'est pas capable d'entendre comme l'avertissement d'une domination sans partage.
September 19, 2025 at 2:24 PM
J'ai beaucoup de mal avec ce goût de la farce qui contamine le cinéma contemporain. Trois exemples de films dont la surenchère finit par prêter à rire. Je n'y vois qu'une pâle copie du délire de l'époque. À ce jeu la fiction n'égale jamais la triste réalité, au mieux elle la singe.
September 17, 2025 at 10:21 AM
En découvrant Bucking Broadway, un moyen métrage muet de John Ford (1917), je m'aperçois que Kaurismäki en a sans doute repris la trame pour Juha son hommage au cinéma muet : un homme de la ville fait tourner la tête à une fille mariée (ou promise) de la campagne et la confie à une mère maquerelle ⤵️
September 9, 2025 at 5:40 PM
Tout est très dosé dans ce scénario verrouillé sur lui-même, parfaitement conscient de ses effets mais il y a quelque chose d'irrésistible dans l'observation du dérèglement progressif. On a beau voir la mécanique, on traverse la nuit, fébrile, aux côtés de Floria (sans regarder sa montre).
September 9, 2025 at 9:41 AM
Balade et rencontres
September 7, 2025 at 7:06 PM
Le roman de la difficile cohabitation de l'animal et de l'homme quand ce dernier est concurrencé en qualité d'ultime prédateur. Où j'ai appris que la gentiane n'est pas (comme chez moi) toujours jaune.
Bientôt en poche.
Merci les boîtes à livres.
September 5, 2025 at 6:20 AM