C’est le rôle de la Maison des Journalistes, dans le 15e arrondissement, qui accueille des journalistes réfugiés du monde entier. Une visite passionnante aujourd’hui aux côtés de @floriansitbon.bsky.social et @genevievegarrigos.bsky.social

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« Paris doit rester une ville refuge et une ville qui protège, une ville qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, une ville qui continue de prendre en main les questions de logement et de précarité, qui frappent encore plus durement les femmes. » - @egregoire.bsky.social

Le dernier portrait nous est présenté par Lily Munson.

Agnès, 70 ans, est ce que l'on appelle une “aidante”. Dévouée et patiente, elle s’occupe chaque jour des autres, de ses proches (et de ses moins proches). Comme beaucoup d’aidants, elle n’est pas loin de la précarité, s’usant pour les autres.

Nathalie est une jeune retraitée, dont la vie personnelle et professionnelle n’a pas toujours été simple. À 62 ans, elle trouve enfin le temps de s’engager pour les autres dans la vie associative… mais aussi en politique.
Le cadre collectif et l’action ne sont jamais une question d’âge ou de genre !

Nolwenn Honoré incarne Sandra, 54 ans, qui, pendant 30 ans, a subi des violences conjugales. Sans se résigner, elle a fini par partir.

L’exclusion, l’isolement, la peur de se retrouver à la rue aussi : autant de réalités qui viennent frapper celles qui sortent de l’emprise de leur bourreau.

Ayodele Ikuesan, a souhaité dresser le portrait de Abi. À 44 ans, elle subit des comportements racistes dans son travail, obérant sa capacité à se projeter, à se dépasser et à être sereine dans son emploi.

En cascade, la question du logement, des enfants, de la qualité de vie se pose.

Ève Simonet prend la parole pour parler des mamans de familles monoparentales.

À travers le portrait d’Aline, elle dénonce un système qui perpétue la dévalorisation du travail des femmes et la précarité de celles qui sortent du schéma de famille nucléaire traditionnelle.

Au micro, Geneviève Garrigos incarne une jeune femme de 20 ans, Hope, immigrée, qui vit dans la peur du harcèlement, dans la rue et dans les transports, et qui raconte ses galères de logement.

Sur scène, six intervenantes vont incarner des femmes inspirantes, de tous les âges et de toutes les conditions, pour témoigner des inégalités femme-homme au quotidien. Des récits de vie pour inspirer nos débats et nos propositions.