Car à l'occasion d'avant-papiers préparés par Belga sur la journée pour les droits de la communauté LGBTQIA+, contre l'homophobie et la transphobie de ce samedi, ces droits sont pour la première fois en train de reculer dans le monde. Et cela vient bien du monde politique. D'où ces rassemblements

La Pride est pourtant bien politique, quoiqu'en dise Georges-Louis Bouchez. Le thème de cette année en dit d'ailleurs long : "Unissez-vous, il est temps de protéger nos droits, notre liberté, notre santé, notre identité, notre diversité, nos communautés, notre combat" www.brusselspride.eu/fr/home

On rappellera David Clarinval qui recommande la lecture d'un livre transphobe, Georges-Louis Bouchez qui partage un tweet transphobe ou mégenrant une ministre, ou Theo Francken qui s'inquiète d'hommes qui "se maquillent"... Autant de propos loin de la tolérance prônée lors de la Pride.

Par contre, les partis politiques n'hésitent pas à profiter de cette ouverture pour faire leur publicité et s'afficher comme défenseurs des droits LGBTQIA+ malgré des positions parfois bien différentes

L'organisation de la Pride Week émane principalement d'associations, dans le cadre d'un partenariat structurel avec la Région bruxelloise, qui l'a d'ailleurs inscrit au patrimoine immatériel de la Région. Des subsides du fédéral sont effectivement prévus, mais représentent un apport minime

On tient le tiercé quarté quinté plus de la fange de droite belge francophone 🥲

Mathieu Van Vyve : fait les questions

Mathieu Van Vyve : fait les réponses

Mathieu Van Vyve : yes

😀