Ce qui n'en justifie en aucun cas ce choix de LFI (pas le première du genre d'ailleurs), qui est là-aussi, comme le rappelle @rsf.org, "une atteinte caractérisée à la liberté de la presse"

Si les attaques sont systémiques du côté de l'extrême droite, la liberté de la presse est loin d'être l'apanage des prétendus "progressistes", comme semble le résumer le billet de Thomas Legrand de ce jour

C'est malheureusement faux : ces dernières années, des journalistes se sont déjà vu refuser leurs accréditations - donc la couverture d'événements politiques - par l'Élysée ou le parti Renaissance (exemple : Reporterre lors de la campagne présidentielle de 2022)