Un prix qui met en exergue le rôle de Bill Drayton en tant que pionnier de l’entrepreneurial social, avec désormais plus de 4000 acteurs de changement dans +90 pays il a catalysé un mouvement international partageant une vision : « Tous acteurs et actrices de changement ».

Un prix également reçu par l’ancien président américain Jimmy Carter et le 14e Dalaï Lama, Tenzin Gyatso.

Vous êtes créateur·ice ? Vous connaissez un talent qui mériterait d’être célébré ? Vos créations sont susceptibles de remporter un de ces 4 prix ? C’EST LE MOMENT DE PARTICIPER !

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L’objectif ?
🌟 Récompenser des travaux qui mettent à l’honneur des récits positifs sur la jeunesse
🌟 Valoriser, rendre plus visibles et redonner confiance aux jeunesses
🌟 Agir directement sur l’image des jeunes dans les médias et les productions culturelles

Merci Reza ! Une passion partagée pour le pouvoir de l’image et des mots.

L'étude est à retrouver ici en intégralité, n'hésitez pas à la partager à vos ami·es journalistes (ou à vos ami·es tout court, même) ! 👋

etats-generaux-information.fr/actualites/c...

Pour nous, à Ashoka, c'est une consultation qui était + que nécessaire pour s'attaquer à la racine des problèmes à l'heure de la défiance et de la désinformation, et rappeler que nous devons prendre soin de ceux qui nous informent 🫶

Enfin, projetons-nous dans l'avenir de la profession : quel est le regard des journalistes sur le développement de l'IA ? 🤖

56% y voit une menace pour le métier de journaliste, mais des disparités en fonction de l'âge sont perceptibles.

Parlons 💸 ! 65% des journalistes ne se sentent pas satisfaits de leur niveau de rémunération. Une proportion qui grimpe jusqu'à 77% chez les pigistes. Cela questionne notamment la diversité socio-économique des personnes qui exercent ce métier.

Ils sont près d'un quart (23%) à avoir déjà vécu un burn-out, quand 40% ont le sentiment d'en être proches.

🫀 46% estime que leur hiérarchie accorde de l'attention à leur santé, alors même que des situations stressantes, imprévues ou chronophages se produisent régulièrement dans leur quotidien.

Si on s'intéresse maintenant à l'équilibre psycho/social (stress, équilibre vie pro et vie perso, santé psychologique et physique), le constat est assez alarmant : 87% des journalistes ressentent au moins un impact négatif de leur métier sur eux-mêmes.

Une nouvelle un peu plus réjouissante : 9 journalistes sur 10 considèrent que les chartes de déontologie sont bien appliquées au sein de leur rédaction.

❗Toutefois, pour 41% d'entre eux, elles le sont, "mais de moins en moins".

Une autre donnée assez préoccupante mise en avant par l'étude : la majorité des journalistes (87%) ont déjà été confrontés à des commentaires désagréables ou à de l’agressivité dans l’espace public, en raison de leur métier, par exemple :

👉 des violences physiques (21%)

👉 de l’agressivité (54%)

Sur le traitement de l’information, une très grande partie a le sentiment qu'il est avant tout tourné vers la recherche de l'audimat (84%), trop anxiogène (77%) et soumis à des ingérences politiques et éco (77%). Un constat qui justifie selon eux l’opinion négative des citoyens à leur égard.

Globalement, que les journalistes se sentent plutôt bien dans leur vie (74%) et épanouis dans leur travail (73%), qu'ils considèrent d’utilité publique, notamment pour la démocratie & les droits humains...

... mais qu'une majorité d'entre eux (56%) ne recommanderaient pas ce métier à leurs enfants.