Si Descartes met au premier plan les mathématiques, dans ses Méditations, c'est pour leur attribuer le plus haut degré de certitudes, et y rattacher les autres sciences de la matière (la physique devient aussi mathématique, etc). Ce n'est pas pour dire qu'on peut se passer du reste, au contraire.

Descartes affirme la puissance du cogito, certes. Mais ce n'est pas seulement une puissance de calcul, c'est aussi l'union de l'âme et du corps. Le "vrai homme", celui qui a une âme, ce n'est pas une abstraction qui flotterait on ne sait où. Le cogito est ancré. On l'éprouve aussi dans sa chair.

On retrouve l'opposition anglosaxonne / cartésienne (ou analytique / continentale) dans cette interview de Monsieur Phi. Pour le camp analytique, le langage suffit à faire la conscience, la pensée. Ses partisans lisent mal Descartes, à mon sens

www.nouvelobs.com/idees/202511...

Le troisième paramètre qui fait la pensée, pour Descartes (avec l'entendement et l'imagination, soit le calcul intellectuel et tout ce que notre corps nous apporte comme infos), c'est la volonté. La dernière limite sera là et à mon avis, infranchissable par nature, car infinie et non programmable.

Il veut doter l'IA de facultés humaines, qui puissent notamment générer des émotions, ce qui passe par le fait d'avoir un corps ou quelque chose qui y ressemble. C'est très cartésien comme approche : sans corps, aucune émotion, sans émotion, pas de cogito complet, donc pas de cogito du tout.

Nathan Devers vient d'être recruté par C ce soir, donc ça fait 2 sur 3. Que Paul Melun ne se décourage pas, il a ses chances !

C'est une cata ce système. Le don va beaucoup plus vite, je ne sais pas qui décide des arbitrages dans les centres mais visiblement, priorité donnée aux receveuses pour PMA.

Jacob Elordi est très bien dans le rôle et son érotisation une excellente idée, on tremble vraiment avec lui quand il s'emporte désespérément contre Victor.

Il me fait juste un peu trop penser à quelqu'un, parfois 🙃

J'aime bien Berghaim mais comme j'aime Carmina Burana, Dies Irae et Ameno, disons. Le seul moment vraiment beau dans le morceau c'est Björk qui l'apporte.

Personnellement impliquée sur le sujet car les 3 accords de Berghain (ré mineur sol majeur la mineur) sont ceux d'un morceau de Schubert déjà savamment pillé par Nicholas Britell dans Succession. Mais ça avait du sens, cela racontait quelque chose de l'idée de succession justement, d'héritage.

Il est arrivé chez SheIn en décembre 2024, pile comme Christophe Castaner (qui a quitté l'entreprise cet été et doit bien s'en réjouir, là). Peut-être une coïncidence, mais peut-être pas.

Ahah jamais entendu, je ne dois pas encore aller dans les établissements assez hype.

(hypothèse de non spécialiste !) Tel que je comprends le Bigelow, la crainte est que tous les ennemis se liguent dans la seconde pour anéantir les USA. On essaie avec 1, rien ne se passe, il en tombe 100 de partout. Discutable puisque Russie et Chine n'ont pas intérêt à la disparition totale des US.

Avec donc en double le très beau tableau de Rubens "La Chasse au tigre".

J'aime bien de nombreux films sans histoires mais il faut alors un monde, a minima, et des émotions qui vont et viennent sans qu'on sache forcément d'où.

Rien que le nom d'Arco me fait penser à la complémentaire retraite. La hype du film me passe totalement à côté (salle pleine hier).