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29 novembre : petit bonheur

Faire de petits séjours à Marseille, pour arpenter la ville en appréciant la lumière du sud, visiter des expositions, se régaler dans les restaurants.
quousquetandemcat.bsky.social quousquetandemcat.bsky.social @quousquetandemcat.bsky.social · 29d
Pour quelques jours à Marseille. Quel bonheur !
🤩
Vue sur la cathédrale de la Major par-dessus la passerelle métallique du Mucem. Le ciel est bleu, barré par un long nuage en tons de gris qui semble presque en relief sur un tableau.
November 29, 2025 at 8:46 AM
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27 novembre : Oui !
Une pièce de tissu carrée, de couleur beige, frangée sur le côté bas, est accrochée à un mur. Dans le quart en haut à droite, est apposée au pochoir une forme dans les tons bruns décorés de motifs rappelant les tatouages berbères. Cette forme, en oblique, présente un cercle dans la partie basse, et une serrure dans la partie haute. Adghar, voile de mariée (1950-2000, Maroc, tissage, laine, henné). Fondation Jardin Majorelle, Marrakech, Maroc. L'adghar d'Imi n'Tatelt est un voile porté par les femmes, généralement composé de deux motifs unis dans un même badigeon de henné : l'un, "ayyur" (lune), renvoie autant à l'astre qu'au cycle de fertilité qu'il symbolise en relation avec les 28 jours du cycle féminin ; l'autre, "tissura" (clef), renvoie au "bâton" qui déflore. L'adghar figure ainsi un commencement : celui d'un nouveau cycle pour la femme qui se marie, c'est-à-dire change de famille et joue son existence en même temps qu'elle change de statut. Le voile favorise lors de la nuit de noces l'espérance de fertilité, la fécondité du foyer. Exposition "Amazighes. Cycles, parures, motifs" (2025), Mucem, Marseille.
November 28, 2025 at 9:03 AM
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27 novembre : une marque
Anse d'amphore à huile estampillée au nom de l'atelier : L.IVNI / MELISSI (LVCIVS INIVS MELISSVS), provenant de la province de Bétique (Espagne). ler - IlIe siècle Forum antique de Bavay.
November 27, 2025 at 6:02 PM
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26 novembre : un livre à lire
Un âne blanc est assis dans une pose humaine sur un monticule de livres, et lit. Pilar Albarracín, "Asnería" (installation, Castres, France, 2010). C'est le monde à l'envers ! L'âne, symbole d'ignorance, se dresse en figure érudite et souveraine. Comme Goya, dont elle s'inspire, l'artiste espagnole Pilar Albarracin cultive une veine satirique. Son installation haute en couleur tourne en dérision la vanité de nos savoirs livresques : engloutir sans discernement des milliers de références à la mode ne nous rend pas plus intelligent. C'est qu'a fantasmer ses lectures, don Quichotte finit, lui aussi, par tourner en bourrique... Exposition "Don Quichotte. Histoire de fou, histoire d’en rire" (2025-2026), Mucem, Marseille. https://inferno-magazine.com/2014/02/13/pilar-albarracin-asneria-au-musee-national-pablo-picasso/
November 26, 2025 at 12:13 PM
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23 novembre : solitaire
Statuette de sanglier en métal. Dans le vocabulaire de la chasse, un solitaire est un mâle (sanglier, cerf, éléphant...) généralement âgé, qui se sépare de la compagnie à certaines époques ou définitivement.  Enseigne militaire à tête de sanglier en alliage cuivreux (Neuvy-en-Sullias (Loiret), ler siècle av. J.-C.). Hôtel Cabu, Musée d'Histoire et d'Archéologie d'Orléans. Exposition "Ils sont food ces Romains !" (2025), Forum antique de Bavay. Contrairement aux idées reçues, les Gaulois ne consomment pas ou peu de sanglier. Eleveurs plutôt que chasseurs, ils lui attribuent une dimension symbolique, en témoignent les nombreuses figurations sur les enseignes militaire, les cimiers de casque ou les trompes de guerre comme le carnyx découvert à Tintignac (commune de Naves, en Corrèze) en 2004, ou encore sur les monnaies. Une alimentation carnée mais pas de sanglier. Les Gaulois, éleveurs, exploitent les ressources disponibles et se nourrissent des produits de la ferme : les animaux d'élevage (vaches, cochons, chèvres, volailles et moutons) fournissent l'essentiel des viandes. La viande est un mets de choix, même si toutes n'ont pas le même statut. Manger du porc semble bien plus commun que de consommer du cerf : moins de 10 % des ossements de faune consommée sont des restes danimaux sauvages (cervidés et lièvres). La morphologie du porc gaulois se distingue très peu de celle du sanglier ce qui a fait croire, à tort, qu'il était beaucoup chassé et consommé. Non, le sanglier ne figure pas au menu habituel. On constate par ailleurs qu'il n'y a pas de croisement entre sangliers et les porcs domestiques, ce qui signifie que les porcs étaient gardiennés et non pas conduits en forêt pour la glandée comme au Moyen Age. Les données nous manquent pour évaluer les filières d'approvisionnement ou les différences de consommation entre ville et campagne, ou en fonction du milieu social.
November 23, 2025 at 11:12 AM
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Vécu aujourd'hui !
November 20, 2025 at 1:17 PM
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19 novembre : portrait
Photographie en noir et blanc d'une jeune femme aux yeux noirs, aux cheveux cachés par un bandeau clair, avec une grande boucle d'oreilles en argent, et des tatouages sur les joues et le menton. Lazhar Mansouri (1935-1985), Série de portraits (Algérie). Lazhar Mansouri (1935-1985) possédait un studio photographique dans un village des Aurès, en Algérie. Publiées par l'artiste Mohand Abouda pour la première fois en 2003, ces photographies témoignent d'une pratique du tatouage toujours vivante dans les décennies charnières de l'indépendance. Elles rendent le tatouage vivant pour une génération qui se réinvente aujourd'hui à travers cet héritage. TATOUAGES Dans les sociétés traditionnelles, la pratique du tatouage était largement répandue. Cette inscription indélébile qui marque le corps des femmes, et quelquefois des hommes, a une valeur sociale. Dans les années 1960, les générations "modernisées" la refusent. Le processus multimillénaire s'arrête. Si le tatouage dans les sociétés occidentales est une individualisation de chacun pour construire une identité personnelle neuve sur celle du corps donné à la naissance, le tatouage aux périodes anciennes relevait de la convention sociale, voire de l'obligation tribale. Exposition "Amazighes. Cycles, parures, motifs" (2025), Mucem, Marseille. Photographie en noir et blanc d'une femme aux traits creusés, aux yeux et aux longs cheveux noirs, avec de grandes boucles d'oreilles rondes en argent avec des perles, et des tatouages géométriques sur le front et au-dessus des sourcils, sur les joues et le menton. Lazhar Mansouri (1935-1985), Série de portraits (Algérie). Lazhar Mansouri (1935-1985) possédait un studio photographique dans un village des Aurès, en Algérie. Publiées par l'artiste Mohand Abouda pour la première fois en 2003, ces photographies témoignent d'une pratique du tatouage toujours vivante dans les décennies charnières de l'indépendance. Elles rendent le tatouage vivant pour une génération qui se réinvente aujourd'hui à travers cet héritage. TATOUAGES Dans les sociétés traditionnelles, la pratique du tatouage était largement répandue. Cette inscription indélébile qui marque le corps des femmes, et quelquefois des hommes, a une valeur sociale. Dans les années 1960, les générations "modernisées" la refusent. Le processus multimillénaire s'arrête. Si le tatouage dans les sociétés occidentales est une individualisation de chacun pour construire une identité personnelle neuve sur celle du corps donné à la naissance, le tatouage aux périodes anciennes relevait de la convention sociale, voire de l'obligation tribale. Exposition "Amazighes. Cycles, parures, motifs" (2025), Mucem, Marseille. Photographie en noir et blanc d'une jeune femme aux yeux noirs, aux longs cheveux noirs coiffes sur le côté avec une mèche grise sur le devant, avec de grandes boucle d'oreilles en pendeloque en argent, et des tatouages géométriques sur le front, au-dessus des sourcils et sur le menton. Lazhar Mansouri (1935-1985), Série de portraits (Algérie). Lazhar Mansouri (1935-1985) possédait un studio photographique dans un village des Aurès, en Algérie. Publiées par l'artiste Mohand Abouda pour la première fois en 2003, ces photographies témoignent d'une pratique du tatouage toujours vivante dans les décennies charnières de l'indépendance. Elles rendent le tatouage vivant pour une génération qui se réinvente aujourd'hui à travers cet héritage. TATOUAGES Dans les sociétés traditionnelles, la pratique du tatouage était largement répandue. Cette inscription indélébile qui marque le corps des femmes, et quelquefois des hommes, a une valeur sociale. Dans les années 1960, les générations "modernisées" la refusent. Le processus multimillénaire s'arrête. Si le tatouage dans les sociétés occidentales est une individualisation de chacun pour construire une identité personnelle neuve sur celle du corps donné à la naissance, le tatouage aux périodes anciennes relevait de la convention sociale, voire de l'obligation tribale. Exposition "Amazighes. Cycles, parures, motifs" (2025), Mucem, Marseille. Photographie en noir et blanc d'une femme aux yeux noirs aux traits creusés, aux cheveux cachés par un bandeau clair et noir qui encadre le visage, avec des tatouages géométriques le front, les joues et le menton. Lazhar Mansouri (1935-1985), Série de portraits (Algérie). Lazhar Mansouri (1935-1985) possédait un studio photographique dans un village des Aurès, en Algérie. Publiées par l'artiste Mohand Abouda pour la première fois en 2003, ces photographies témoignent d'une pratique du tatouage toujours vivante dans les décennies charnières de l'indépendance. Elles rendent le tatouage vivant pour une génération qui se réinvente aujourd'hui à travers cet héritage. TATOUAGES Dans les sociétés traditionnelles, la pratique du tatouage était largement répandue. Cette inscription indélébile qui marque le corps des femmes, et quelquefois des hommes, a une valeur sociale. Dans les années 1960, les générations "modernisées" la refusent. Le processus multimillénaire s'arrête. Si le tatouage dans les sociétés occidentales est une individualisation de chacun pour construire une identité personnelle neuve sur celle du corps donné à la naissance, le tatouage aux périodes anciennes relevait de la convention sociale, voire de l'obligation tribale. Exposition "Amazighes. Cycles, parures, motifs" (2025), Mucem, Marseille.
November 19, 2025 at 7:20 AM
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17 novembre : local
Affiche de l'exposition "Pétanque !" (2025-2026) au Musée d'Histoire de Marseille.
November 17, 2025 at 8:29 AM
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16 novembre : ondulé
Dans un bâtiment ancien aux hautes fenêtres en ogive, une paroi en métal argenté très brillant et ondulant habille la moitié basse du mur et déforme ce qui s'y reflète. Devant, sur un piédestal blanc, se trouve une haute colonne torsadée blanche. Nadia NAVEAU, "Pillar" (2019, acrylique, mdf, bois, h 347 cm). Exposition "The distorted party" (2025), Musée de l’Hospice Comtesse, Lille, dans le cadre de Fiesta Lille3000.
November 16, 2025 at 7:29 AM
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15 novembre : collage
Un collage en noir et blanc sur un mur beige montre un singe gigantesque perché sur la basilique Notre-Dame de la Garde se saisissant de la statue de la Vierge. En bas à gauche une femme, entre horreur et indignation, s'écrie : "Putain Kong !". La Panier, Marseille.
November 15, 2025 at 11:41 AM
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naudinchristophe.bsky.social
Fluctuat nec mergitur
November 13, 2025 at 7:10 PM
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Un entretien qui n'a pas eu grand intérêt, autre que confirmer la beauferie d'Éric Neuhoff.
medericgc.bsky.social Médéric Gasquet-Cyrus @medericgc.bsky.social · 17d
Sur France Inter ce matin, invité face à Benjamin Duhamel, le nouvel académicien Éric Neuhoff, journaliste au Figaro, critique de cinéma, écrivain considéré comme plutôt (très) conservateur. Il commence par confirmer que l'Académie, "c'est un club, une institution, un truc démodé, classique" 🧵
1/16
November 12, 2025 at 8:05 AM
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veroservat.bsky.social
Colloque la #Palestine et l’Europe annulé par le @college-de-france.fr se tiendra hors de ses murs.
Communiqué n°2 : Notre colloque se tiendra, comme prévu, les 13 et 14 novembre prochains.
Le colloque « La Palestine et l’Europe » se tiendra les 13 et 14 novembre, réaffirmant la liberté académique et le partage du savoir.
carep-paris.org
November 12, 2025 at 6:47 AM
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albinwagener.bsky.social
L'une des mes hypothèses (et un de mes espoirs) c'est que l'IA va finir par devenir ridicule en raison de la stupidité de ses usagères et usagers, et que ça finira par passer comme les modes du métaverse ou des gifs animés en fin de mail, devenues infiniment ringardes.
zefede.bsky.social ¯\_(ツ)_/¯ @zefede.bsky.social · 18d
Incroyable hommage de l’ancienne ministre des Anciens combattants. On appréciera la double Bretagne, le casque allemand et la submersion (ou l’annexion ??) du sud de la France.
Patricia Miralles V @MIRALLESMP «Ils sont restés parmi nous, vivants dans notre fidélité et dans notre souvenir» Maurice Genevoix, Ceux de 14 #11Novembre : rendons hommage aux héros de 14-18 et à tous ceux qui ont donné leur vie pour la France. Que leur sacrifice nous unisse dans la paix et la mémoire. + visuel fait par une IA avec une carte de France improbable + un soldat allemand
November 11, 2025 at 6:08 PM
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Une pétition (du père de ce lycéen mort pendant son stage de seconde) pour réclamer la fin de ces stages est en ligne :
www.onparticipe.fr/p/FnHJpLu5
November 11, 2025 at 6:23 PM
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11 novembre : contraste
Deux œuvres côte à côte : - à gauche, une photographie en noir et blanc d'un homme presque grandeur nature, de trois quarts, vêtu d'un large pantalon blanc. - à droite, un écran sur lequel est projeté un film d'une danseuse vêtue d'un large et long vêtement qui s'agite au gré de ses amples mouvements, et dont la couleur change au cours du film. A gauche : August SANDER (1876 - 1964), "Raoul Hausmann en danseur" (1929, reproduction à partir d'une épreuve gélatino-argentique). A droite : Anonyme, "Danse serpentine [ll]" (1897-19 juin 1899, d'après la danse de Loie Fuller, film 35 mm colorisé au pinceau, transféré sur Beta numérique, couleur, muet, 1 min, distributeur : Institut Lumière, Lyon (France)). Exposition "Pom Pom Pidou. Un récit renversant de l'art moderne" (2025), Tri Postal, Lille, dans le cadre de Fiesta Lille3000. Deux œuvres côte à côte : - à gauche, une photographie en noir et blanc d'un homme presque grandeur nature, de trois quarts, vêtu d'un large pantalon blanc. - à droite, un écran sur lequel est projeté un film d'une danseuse vêtue d'un large et long vêtement qui s'agite au gré de ses amples mouvements, et dont la couleur change au cours du film. A gauche : August SANDER (1876 - 1964), "Raoul Hausmann en danseur" (1929, reproduction à partir d'une épreuve gélatino-argentique). A droite : Anonyme, "Danse serpentine [ll]" (1897-19 juin 1899, d'après la danse de Loie Fuller, film 35 mm colorisé au pinceau, transféré sur Beta numérique, couleur, muet, 1 min, distributeur : Institut Lumière, Lyon (France)). Exposition "Pom Pom Pidou. Un récit renversant de l'art moderne" (2025), Tri Postal, Lille, dans le cadre de Fiesta Lille3000. Deux œuvres côte à côte : - à gauche, une photographie en noir et blanc d'un homme presque grandeur nature, de trois quarts, vêtu d'un large pantalon blanc. - à droite, un écran sur lequel est projeté un film d'une danseuse vêtue d'un large et long vêtement qui s'agite au gré de ses amples mouvements, et dont la couleur change au cours du film. A gauche : August SANDER (1876 - 1964), "Raoul Hausmann en danseur" (1929, reproduction à partir d'une épreuve gélatino-argentique). A droite : Anonyme, "Danse serpentine [ll]" (1897-19 juin 1899, d'après la danse de Loie Fuller, film 35 mm colorisé au pinceau, transféré sur Beta numérique, couleur, muet, 1 min, distributeur : Institut Lumière, Lyon (France)). Exposition "Pom Pom Pidou. Un récit renversant de l'art moderne" (2025), Tri Postal, Lille, dans le cadre de Fiesta Lille3000. Deux œuvres côte à côte : - à gauche, une photographie en noir et blanc d'un homme presque grandeur nature, de trois quarts, vêtu d'un large pantalon blanc. - à droite, un écran sur lequel est projeté un film d'une danseuse vêtue d'un large et long vêtement qui s'agite au gré de ses amples mouvements, et dont la couleur change au cours du film. A gauche : August SANDER (1876 - 1964), "Raoul Hausmann en danseur" (1929, reproduction à partir d'une épreuve gélatino-argentique). A droite : Anonyme, "Danse serpentine [ll]" (1897-19 juin 1899, d'après la danse de Loie Fuller, film 35 mm colorisé au pinceau, transféré sur Beta numérique, couleur, muet, 1 min, distributeur : Institut Lumière, Lyon (France)). Exposition "Pom Pom Pidou. Un récit renversant de l'art moderne" (2025), Tri Postal, Lille, dans le cadre de Fiesta Lille3000.
November 11, 2025 at 8:23 AM
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9 novembre : temps
Trois cylindres avec des lignes courbes. Une aiguille métallique se dresse perpendiculairement en haut de chacun d'eux. Ce sont des cadrans solaires portables. De gauche à droite : - Montre de berger (Turquie, 18 siècle, bois peint et verni, cuivre, Musée de l'Institut du Monde Arabe, Paris). - Montre de berger (Sicile, Italie, 1844, os, bois et étain, Musée Galilée, Florence, Italie). - Montre solaire de berger (France, 19e siècle, buis et fer, Mucem, Marseille). Exposition "Lire le ciel. Sous les étoiles en Méditerranée" (2025), Mucem, Marseille.
November 9, 2025 at 7:33 AM
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8 novembre : arbre dépouillé
Un arbre en contre-plongée, sans aucune feuille, qui semble orange dans la lumière du soleil couchant, dans un cimetière arboré.
November 8, 2025 at 7:44 AM
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Bluesky, tu mets une capture d'écran d'un des premiers jeux vidéo auxquels tu as joué ?
Jeu Pong : deux barres blanches faisant office de raquettes se déplaçaient de caque côté d'un écran noir séparé par une ligne blanche verticale en pointillés, et se renvoyaient une balle blanche carrée.
November 7, 2025 at 12:42 PM
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7 novembre : instrument
Poids de fil à plomb (trouvé à Xanten, Allemagne, 1er - 3e siècle apr. J.-C, bronze). Utilisé avec une cale contre un mur, cet outil permet de vérifier la verticalité d'une paroi. Exposition "Un Empire, des peuples" (2024-2025), Lugdunum Musée et théâtres romains.
November 7, 2025 at 9:39 AM
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6 novembre : demi / à demi
Statue de face d'une sirène, à torse de femme à la longue chevelure et queue de poisson. La queue de poisson est séparée en deux et la sirène en tient une partie, remontée vers le haut, dans chaque main. Fût d'une demi-colonne ornée d'une femme-poisson Trèves, après 1150, calcaire. Musée Régional rhénan de Trèves, Allemagne. Statue de côté d'une sirène, à torse de femme à la longue chevelure et queue de poisson. La queue de poisson est séparée en deux et la sirène en tient une partie, remontée vers le haut, dans chaque main. Fût d'une demi-colonne ornée d'une femme-poisson Trèves, après 1150, calcaire. Musée Régional rhénan de Trèves, Allemagne.
November 6, 2025 at 7:52 PM
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5 novembre : sombre
Une statue représente Cléopâtre, allongée, en appui sur le coude gauche posé sur un coussin, le torse dénudé, un fin tissu couvrant le bas du corps. Un serpent s'enroule autour de son poignet droit et la mord. La statue est en bronze très foncé, dans une pièce aux murs d'un violet foncé, sous un éclairage parcimonieux. Henri DUCOMMUN DU LOCLE (1804-1884), "Cléopâtre" (bronze). Musée des Beaux-Arts, Marseille.
November 5, 2025 at 3:31 PM
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Un vignoble grec antique découvert sous les quartiers Nord à Marseille
www.laprovence.com/article/sort...
Un vignoble grec antique découvert sous les quartiers Nord à Marseille
Un vignoble grec antique découvert sous les quartiers Nord à Marseille
www.laprovence.com
November 3, 2025 at 7:07 PM
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3 novembre : fleurs fanées
Sur une plaque de métal, des restes d'affiches dans les tons rosés, bleus, verts beiges. Raymond HAINS (1926 - 2005), "Les Nymphéas" (1961, affiches lacérées sur panneau de tôle de zinc). Exposition "Pom Pom Pidou, Un récit renversant de l'art moderne" (2025), Tri Postal, Lille, dans le cadre de "Fiesta, Lille3000". Voir : ▪︎ https://www.centrepompidou.fr/fr/ressources/oeuvre/c6rXGgr ▪︎ https://www.theguardian.com/news/2005/dec/06/guardianobituaries.artsobituaries Dès 1949, Hains était associé à Jacques de la Villeglé, rencontré lors de ses études à Rennes. Tous deux se considéraient comme des contestataires de la subjectivité et de l'égocentrisme des peintres gestuels américains Jackson Pollock et Willem De Kooning, ainsi que de leurs homologues français du mouvement Art Informel. Hains se qualifiait d'ailleurs lui-même de "peintre de l'inaction", résolument opposé au "vide" de l'expressionnisme abstrait. Certains de ses collages évoquent les textures et les motifs de ses prétendus adversaires artistiques. En 1957, le critique Edmond Humeau les qualifiait de « lyrisme fugace », et quelques-uns étaient même intitulés "Nymphéas", en hommage ironique aux toiles les plus sensuelles de Monet. Généralement, ces fragments d'affiches sont extrêmement impersonnels, glanés dans la rue plutôt que créés en atelier – comme le disait Hains : "Mes œuvres existaient avant moi, mais personne ne les avait vues, car elles étaient d'une évidence aveuglante." Certains commentateurs ont tenté de rapprocher les idées de Hains du concept de "mort de l’auteur" proposé par le penseur post-structuraliste Roland Barthes. Cependant, il serait plus juste de rattacher l’affichisme à l’ambition surréaliste d’élever le quotidien à une réalité supérieure. Selon Villeglé, Hains cherchait à transformer le banal en art : "Le tableau ne doit pas être considéré comme un monde en soi, mais le monde lui-même doit être vu comme un tableau."
November 3, 2025 at 2:10 PM
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2 novembre : souvenir
Dans un cadre sont présentées trois photographies : - à droite, en noir et blanc, un homme debout en costume à côté d'un piédestal supportant un gros bouquet de fleurs, - à gauche, en noir et blanc, une femme en jupe plissée et chemise et veste claires, debout à côté d'une chaise sur laquelle est assise une très jeune enfant. - au centre, en format plus grand, un montage colorisé des deux photographies, qui compose un portrait de famille. FAMILLE RECOMPOSÉE (Photomontage du Studio Rex, Marseille, 20 siècle). À Marseille, des années 1950 aux années 1980, le Studio Rex a reçu des milliers d'immigrés. À côté des classiques photos d'identité, le studio proposait des photomontages, assemblages fictifs de photos de membres de familles éloignés pendant la migration. Exposition "Migrations, une odyssée humaine" (2025), Musée de l'Homme, Paris.
November 2, 2025 at 2:55 PM