Émeline Comby
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emelinec.bsky.social
Émeline Comby
@emelinec.bsky.social

Enseignante-chercheuse en géographie intéressée par l’eau, les villes, les luttes environnementales, l’enseignement, la cuisine, les risques... Lyonnaise qui aime bouger et un peu mieux comprendre l’ici et l’ailleurs.

Un très joli film, en papier découpé, tout doux, simple et efficace, parfait pour un dimanche gris, venté et humide. La maman de l’héroïne est archéologue et c’est très sympa de voir représenter ce métier à l’écran.

Des hésitations… non tout le monde l’a découvert à la naissance.

Les a-t-il vraiment dirigées ou sert-il de « caution » pour des non HDR ? C’est vrai que le ratio est surprenant et vu de loin pas très bon signe sur les pratiques du ou de la collègue car des personnes sont volontairement évitées en jury et on sait pourquoi…

Plein de soutien. Prendre soin en essayant de ne pas s’oublier soi…

Oh c’est très étrange comme commentaire sauf si l’article porte sur les gros mots… Le style peut être courant, mais je peine à l’imaginer familier… plein de soutien pour répondre et faire les modifications !

Félicitations !

Oui on garde les maquettes pendant 5 ans : ce n’est pas si long. Les modifications de maquette c’est trop contraignant. Et puis après l’avis Hceres, on pourra refaire la même connerie…

Non… mais c’est quand même important pour l’image de l’établissement de le maintenir ouvert !

Et qui dit qu’il faut fermer le diplôme sans jamais parvenir à le faire…

Plein de pensées…

Félicitations ! En espérant que le soulagement arrive vite ensuite…

Un rond-point à la Trinité-sur-Mer et une boîte de nuit construite de vieilles pierres bretonnes déplacées à Carnac…

Tu as tout mon soutien : que mes pensées t’accompagnent Thibaut ! Tu as bien fait d’en parler publiquement, même si cela a dû être très difficile : nous avons besoin de tes mots… J’espère que tu seras entendu et que tu n’auras plus à te heurter à sa visibilité médiatique.

Le fait que ce soit une femme n’est pas neutre non plus je crois…

Oh tu es trop choue : merci ! Il faudra encore que je réfléchisse à comment le diffuser quand le work in progress sera fini…

Idem donc je mets le nom de ce que j’aime le moins ou de qqch d’absurde/qui me fait rire. Genre quel est ton plat préféré, il est plus facile de mettre ce que je ne voudrais pas manger. Bon cela ne veut pas dire que je vais m’en rappeler ou que je ne vais pas m’interroger sur déterminant, majuscule…

Cet article de @nachtergael.bsky.social pose très bien le problème : academia.hypotheses.org/36784 . Il existe des ressources accessibles… Mais je crois que les discours sont bien rodés, y compris au nom d’une « sélection » qui n’a pas toujours de nom, mais qui trouve écho dans la « méritocratie ».

Je ne sais jamais répondre à ces questions sauf sur les prénoms ou les trucs qui ne changent pas. Donc ma technique, c’est de répondre le truc le plus absurde qui me passe par la tête, en espérant davantage de stabilité dans mon absurdie…

Je ne connaissais pas ces travaux qui doivent être lus. Dans le volume biographique de mon HDR, j’ai positionné mes choix, malgré une expérience que je qualifie de très peu précaire. C’est, pour moi, une question majeure pour penser des inégalités de genre dans un contexte de précarisation de l’ESR.
Le désir de maternité des jeunes chercheuses face à la précarité : se lancer, reporter ou avorter ?
Le désir de maternité des jeunes chercheuses face à la précarité : se lancer, reporter ou avorter ?
Quand l’accès à un poste titulaire correspond à un parcours d’obstacle, comment concrétiser un projet de maternité ? Une enquête auprès de jeunes chercheuses éclaire leurs dilemmes.
theconversation.com

Au moins il n’y a pas de doute sur la lecture… J’espère que les symptômes ne sont pas forts et qu’il pourra se reposer.

Pas de gel, une suppression directe? Sans poste de titu, fermer devient la seule solution car toustes les titulaires sont en surservice, en surencadrement et en sur-responsabilité : moins de formation, plus de sélection sans le nom. A Lyon2 on a des jauges étudiantes plus élevées pour ouvrir en 2027

Je suis tellement heureuse de cette fierté qui vous emplit. Un nouveau cycle semble en route et je vous souhaite le meilleur…

La MJC propose des prix solidaires pour essayer d’ouvrir au maximum l’accès. 500€ cela ne me semble pas cher pour un petit groupe, surtout qu’il doit aussi y avoir des MJC au même prix qu’ici chez vous (sous-entendu les personnes qui choisissent la fac sont peut-être déjà dans une distinction).

Reposted by Émeline Comby

⚠️ Un message important, destiné aux collègues qui aimeraient participer au Prix mais appréhendent :
➡️ le Prix n'est pas réservé aux géographes. De nombreux collègues, qui sont plus historiens que géographes se sont déjà inscrits lors d'éditions précédentes et tout s'est bien passé,

1h15 d’anglais dans un groupe d’adultes de 12 personnes dans ma MJC de quartier, c’est 245€ l’année (pas de cours pendant les vacances scolaires des enfants). Je pense que la taille du groupe à 8 est un vrai plus !

Plein de pensées… ca ne vaudrait pas le coup de faire un encart méthodologique pour donner donner à voir ce décalage ? Ça me semble un vrai résultat de recherche utile pour la communauté.

Reposted by Émeline Comby

Les « Communs Urbains » face à la théorie de l’espace social d’Henri Lefebvre

Un texte de Renaud Lariagon à lire sur terre à terre

Résumé : "Dans le contexte d’une #urbanisation rapide, globale et soutenue par les politiques néolibérales, l’accaparement... (1/4)

terreaterre.eu/spip.php?art...
Les « Communs Urbains » face à la théorie de l'espace social d'Henri Lefebvre - terre à terre
L'accaparement des ressources, la destruction de la nature et celle des services urbains ne cessent de s'intensifier. La profusion des termes pour qualifier les « communs urbains » invite à s'interrog...
terreaterre.eu

Alors que quand on en parle, il y a un vrai intérêt : on a encore beaucoup à apprendre de ce qui s’est passé. Il faudrait vérifier, mais je ne pense pas que ce soit un exemple classique dans le secondaire… Après, je note globalement une méconnaissance des catastrophes et luttes environnementales.